Le grand stress !
C’est la fin de l’été et la rentrée scolaire implique un rythme de vie plus structuré, une organisation minutieuse pour chacun des membres de la famille.
L’idée même de mettre en route cette nouvelle logistique préoccupe les adultes.
Des passages clés stressent et petits et grands ; nounou ou crèche pour les plus petits, passage en maternelle en primaire, au collège …
Si certains sont heureux de retrouver la période scolaire, leurs ami(e)s, de nouvelles choses à apprendre….. d’autres sont plus timorés à cette idée.
Ceux qui sont sensibles captent très bien ces pressions dès que certains mots véhiculent dans la bouche de leurs parents (cartable, fournitures scolaires…).
Les adolescent(e)s ne sont pas épargné(e)s ; ce sont souvent les enfants sensibles qu’ils ont été et qu’ils seront toujours. Cette sensibilité ou hypersensibilité n’est pas un choix ou une parade. Il s’agit d’un tempérament (qui est génétique), d’une façon d’être au monde.
Les individus sensibles ont des capacités à percevoir et ressentir que d’autres n’ont pas. Ils sont donc généralement débordés par leurs stimuli et ont besoin de plus de calme, plus de temps pour les intégrer.
Mais que se passe t’il donc ?
Beaucoup d’enjeux sont concentrés dans cette période relativement courte mais plutôt intense.
Les adultes veulent bien faire, tout préparer, rien oublier, anticiper… Les jeunes enfants sont devant des challenges qui dépassent leur compréhension et leurs capacités à résoudre ces situations.
La rentrée implique un changement de statut pour devenir élève et le poids de leur avenir pèse déjà sur leurs épaules. Que peuvent-ils comprendre ou ressentir de leur avenir ? L’enjeu est donc de taille car cela implique une obligation de résultats et de la compétition. Une forme de résiliation peut se mettre en place pour accepter ce sort mais parfois elle n’opère pas.
Ils vont vers l’inconnu et le sentiment de séparation est très fort. Qui sera leur instituteur-trice, leurs camarades seront-ils encore avec eux, comment sera la classe, quel bureau leur sera attribué, à côté de qui seront-ils … ?
Obéir, respecter les règles, suivre le groupe … autant de points sur lesquels chaque écolier devra trouver un équilibre entre la soumission aux codes et sa place à prendre « naturellement ». Cela peut représenter beaucoup de souffrances et de contraintes. Ce sera la sensation d’échec, la phobie scolaire, la peur des autres …qui prédomineront.
De là, démarrent des troubles plus ou moins prononcés sur la sphère digestive (maux de ventre, nausées, manque ou une stimulation de l’appétit …), sur le sommeil (réveil nocturne, cauchemar, énurésie …), sur le comportement (difficulté à respirer, à se concentrer, agitation, rébellion, colère, pleurs …).
L’organisme doit faire face à des pics de cortisol trop fréquents voire de façon continue. Le métabolisme se perturbe et l’ensemble des systèmes peut alors être affecté sans révéler pour autant une maladie.
Le rôle des adultes est donc majeur pour les accompagner au mieux dans ces étapes de vie.
Les réponses sont là
Par chance, nous avons une pharmacopée végétale et non intrusive pour soulager toutes ces manifestations. La naturopathie est une approche globale dite holistique qui offre de multiples dispositifs pour répondre à différents troubles. Elle rectifie le terrain pour aider l’organisme à optimiser son métabolisme.
La gemmothérapie et les élixirs floraux sans alcool donc adaptés aux plus jeunes, les hydrolats, les Sels de Schussler … sont d’un soutien non négligeable. Les vitamines et minéraux, une alimentation bien adaptée à leur croissance complètent très bien l’accompagnement. Ne pas oublier toutes les activités
La gemmothérapie Sans alcool et adaptés aux plus jeunes, les hydrolats, les Sels de Schussler sont d’un soutien non négligeable. Les vitamines et minéraux, une alimentation bien adaptée à leur croissance complètent très bien l’accompagnement. Se rajoutent toutes les activités de plein air ou d’intérieur comme les activités manuelles qui apaisent.
Les conseils doivent être personnalisés après une écoute de l’enfant. Sa façon de parler, ses mots, ses attitudes … seront des indicateurs précieux. Mon regard extérieur facilitera ces échanges.
Mon rôle sera d’être également d’accueillir les adultes car leur inquiétude est bien présente.
Vous rassurer, vous comprendre, vous donner des clés sera tout aussi important que l’accompagnement même de vos chérubins, petits ou grands.
Et je serais ravie de pouvoir mettre mon expérience à votre service !
Je rappelle que des troubles « trop » prononcés doivent être orientés vers des médecins et/ou des spécialistes.